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Le président François Hollande, qui était à un sommet à Bruxelles, a tenu une conférence de presse durant laquelle il a donné des détails sur l'attaque. Il l'a qualifié « d'attentat de nature terroriste », et a assuré que « l'intention ne fait pas de doute, elle était de provoquer une explosion ».Selon l'AFP, le Premier Ministre Manuel Valls a déclaré que l'attaque était un acte de « terrorisme islamiste », démontrant « que la menace djihadiste demeure toujours extrêmement élevée ».En Tunisie, 27 personnes ont été tuées sur une plage par deux tireurs. Le ministère de la santé Tunisien affirme que les victimes sont de nationalité tunisienne, britannique, allemande et belge. C'est le deuxième attentat sur des touristes cette année en Tunisie, après l'attaque du Musée du Bardo à Tunis au mois de mars qui avait fait 21 morts, parmi lesquels une majorité de touristes. Trouvez plus d'informations sur les attaques sur VICE News. Le premier ministre britannique David Cameron a répondu aux attaques en offrant sa solidarité aux gouvernement français et tunisiens. Il a affirmé : « Nous devons combattre non seulement le terrorisme, travailler avec les pays qui souffrent, mais aussi combattre cet état d'esprit dangereux, ce culte de la mort qui empoisonne les jeunes esprits et qui les mène vers ce chemin de violence aveugle.» Une troisième tragédie touche le Koweït, alors qu'un groupe affilié à l'État Islamique a revendiqué un attentat à la bombe dans une mosquée chiite de Koweït City qui a fait 25 morts et au moins 202 blessés. Cet attentat suit deux attaques sur des mosquées chiites en Arabie Saoudite dans les dernières semaines revendiquées par le même groupe.Cet article sera régulièrement mis à jour.« Il y a eu un bruit, un bruit sourd. Au moment où l'on est arrivé, on ne savait pas que c'était une explosion. On pensait que c'était un avion qui passait un peu plus bas, vu que le site ne se situe pas très loin de l'aéroport de Lyon. Quelques minutes après on a vu arriver un déploiement assez important de pompiers, de gendarmes autour de l'avenue où nous sommes. On s'est interrogé et en premier lieu on a pensé que était dû à un accident sur l'autoroute de Grenoble. Puis on a été prévenu, par un SMS d'un proche, que c'était un attentat. »