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Le gros bébé de l'année 2013

On organise un sondage pour élire le plus gros pigneur de l’année.

Chaque jour, notre planète enfante des psychopathes et les prétendants au titre de gros bébé ouin-ouin n’ont pas manqué cette année. Mais, parmi ces pleurnicheurs infernaux, qui mérite la première place ? Ci-dessous, une liste des 10 bébés qui ont le plus pigné cette année.

Vous pouvez participer au sondage en bas de cet article pour déterminer qui sera l’heureux gagnant du trophée du plus gros bébé de l’année (cf. photo).

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Gros bébé #1 : Olga Rozhoav

capture d'écran via

L’incident : Une enseignante a sauvé sa classe d’un immeuble en feu.

La réaction appropriée : La féliciter, voire lui remettre une médaille ou un trophée.

Ce qui s’est vraiment passé : Elle s’est fait virer.

En juillet dernier, Michelle Hammack travaillait dans une garderie à Jacksonville, en Floride.

Pendant que sa classe faisait la sieste, Michelle a senti une odeur de brûlé et est partie mener l’enquête. Dans la cuisine de la garderie, elle a constaté que le four était en train de brûler. La fumée a enclenché l’alarme incendie.

Elle s’est dépêchée de revenir dans sa salle de classe pour réveiller les enfants, avant de les entraîner en lieu sûr.

Pendant que les autres enseignants faisaient l’appel, Michelle est retournée dans l’immeuble pour s’assurer qu’il ne restait aucun enfant. Finalement, elle s’est rendue compte que l’incendie était assez modeste pour être maîtrisé, et elle l’a donc éteint toute seule.

Quand elle est revenue au boulot le lendemain, elle était licenciée.

Dans une interview pour Action News Jackson, Olga Rozhoav – la propriétaire de la garderie – a déclaré : « Je l’ai renvoyée parce qu’elle est sortie de sa classe. Les enseignants doivent toujours être présents, même pendant les heures de sieste. C’est inacceptable, et si d’autres personnes venaient à faire la même chose, je les licencierais sans préavis. »

Gros bébé #2 : Austin Davis

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L’incident : Quelqu’un a pété dans une voiture.

La réaction appropriée : Rire ou faire une tête un peu dégoûtée – ça dépend du nombre de grammes de fun que vous cumulez en vous.

Ce qui s’est vraiment passé : Incapable de déterminer lequel de ses trois enfants avait pété, Austin Davis (en photo ci-dessus) les a battus à coups de ceinture.

Un peu plus tôt cette année, Austin, qui a une tête en forme de sevivon inversé, était en voiture avec ses trois enfants. À un moment donné, un des enfants a pété.

Austin s’est mis en colère et a demandé aux gosses de dénoncer le coupable. Les trois enfants ont refusé de lui répondre, et Austin a enlevé sa ceinture pour battre ses enfants.

Une femme de sa famille a pris les blessures des enfants en photo pour les montrer à la police. Austin s’est fait arrêter pour « coups et blessures volontaires ».

Selon la police, les photos dévoilaient un enfant de 6 ans avec « des plaies noires sur les jambes, les fesses et les cuisses » et un gosse de 12 ans avec des blessures similaires. Le dernier enfant, âgé de 9 ans, a refusé de se laisser prendre en photo par peur des représailles.

:(

Gros bébé #3 : Kimberly Hall

L’incident : Une femme a découvert que ses fils avaient des amies Facebook aux tenues un peu provocantes.

La réaction appropriée : Ne rien faire.

Ce qui s’est vraiment passé : Elle s’est connectée sur le profil de son fils a et a bloqué les amies qu’elle jugeait trop légèrement vêtues.

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La semaine dernière, la blogueuse chrétienne Kimberly Hall a rédigé un article intitulé  « Quelques choses à savoir (si vous êtes une adolescente) ».

L’article, présenté sous forme de lettre ouverte, s’adresse aux amies Facebook de ses trois fils (en photo ci-dessus).

Dans sa lettre, elle a fait une révélation un peu creepy en expliquant qu’elle a passé une soirée, accompagnée de sa famille, à regarder les photos des amies Facebook de ses fils. « Salut les filles, j’ai quelques informations qui pourraient vous intéresser, a-t-elle écrit. Hier soir, je me suis réunie avec ma famille afin d’éplucher les photos que vous postez sur les réseaux sociaux. »

Mais récemment, elle a remarqué que les filles se mettaient en scène de manière de plus en plus sexualisée : « On voit clairement que vous ne portez pas de soutien-gorge. Ça, je peux comprendre – vous êtes dans votre chambre, et vous vous apprêtez sans doute à vous coucher. Mais c’est difficile de ne pas remarquer votre posture cambrée et votre moue lascive. Pourquoi vous faites ça ? Je sais que je n’adopte aucune de ces positions avant de dormir, en tout cas. »

Elle a ensuite donné un petit cours de biologie aux lectrices : « Je sais que votre famille n’apprécierait pas le fait que mes fils puissent vous voir vêtues d’une simple serviette. Saviez-vous que lorsqu’un homme vous voit presque nue, cette image ne s’effacera jamais de son esprit ? J’imagine que vous n’aimeriez pas être réduites à cette image sexuelle. »

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Face à une telle situation, elle s’est tournée vers le seul choix possible : bloquer toutes les filles aux tenues inappropriées. « Chez nous, il n’y a pas de deuxième chance. Si vous voulez rester amies avec mes fils, il faut que vous soyiez décentes. Si vous essayez de poster un autoportrait sexy ou une vidéo YouTube grossière, vous n’aurez plus jamais accès à notre petit bout de paradis en ligne. »

Elle semble estimer que cette punition est suffisante, puisque cela signifie que ces succubes n’auront plus jamais la chance de se marier avec l’un de ses trois fils. « Chaque jour, je prie pour les futures femmes de mes enfants, a-t-elle poursuivi. Je prie pour qu’ils soient attirés par de belles femmes, qui leur donneront envie d’être de meilleures personnes. Je prie aussi pour que mes fils méritent leur attention, et qu’ils restent sages en attendant de les trouver. »

Elle termine la lettre (qui, contre toute attente, est illustrée par une photo de ses trois fils, torse nu) en offrant son pardon aux jeunes femmes qui n’ont pas encore été bloquées : « Les filles, il n’est pas trop tard ! Si vous estimez avoir fait une erreur (ça arrive à tout le monde – à moi aussi, d’ailleurs), CONNECTEZ-VOUS VITE pour supprimer toutes les photos susceptibles de faire fantasmer vos amis masculins. »

Si vous nous lisez et que vous êtes réellement amie avec l’un de ces garçons, n’attendez plus ! COUREZ sur votre profil et effacez vos autoportraits en serviette et en pyjama. Si vous la jouez assez fine, vous aurez peut-être une chance de vous retrouver avec une folle hystérique en guise de belle-mère.

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Gros bébé #4 : Diana Medley

L’incident : Une école a organisé un bal de promotion, et les étudiants gay étaient aussi invités.

La réaction appropriée : Ne rien faire.

Ce qui s’est vraiment passé : Une enseignante s’est associée avec des étudiants, des parents et une tripotée d’abrutis pour organiser un bal de promotion strictement hétérosexuel.

En février, Diana Medley – une enseignante affectée dans un lycée de la ville de Sullivan, dans l’État de l’Indiana – a annoncé qu’elle organisait un bal de promo réservé aux hétérosexuels, en réponse à la soirée officielle de l’école.

Dans sa déclaration à une chaîne locale, Diana (en photo ci-dessus) a dit : « Nous ne tolérons pas l’homosexualité ; c’est une insulte pour nous. »

Elle a ensuite ajouté : « Je ne pense pas qu’ils soient nés ainsi – je pense qu’à un moment où un autre, la vie les a poussés à faire ce choix. Je pense que Dieu nous a tous faits égaux. Des enfants viennent me parler de leurs préférences sexuelles. Ils savent que je ne les cautionne pas, mais que je tiens quand même à eux. Il en va de même pour les enfants qui ont des difficultés d’apprentissage. Dieu a mis ces gens sur notre chemin pour des raisons précises. »

Quand on lui a demandé si elle estime que les homosexuels avaient un but dans la vie, elle a répondu : « Je ne pense pas, non. Désolée. »

Suite à ses commentaires, Diana a été suspendue de l’école.

Gros bébé #5 : James Ruiz

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capture d'écran via

L’incident : Un conducteur bourré a provoqué un accident et la mort de deux adolescentes.

La réaction appropriée : Faire de la prison et passer sa vie à regretter son irresponsabilité.

Ce qui s’est vraiment passé : Le conducteur a traîné un tas de gens en procès, en niant sa culpabilité.

L’accident a eu lieu en 2010, alors que James Ruiz (en photo ci-dessus) conduisait le camion d’un ami. Il est entré en collision avec une voiture qui transportait Deshauna Peshlakai, âgée de 17 ans, et Del Lynn Peshlakai, 19 ans. Toutes deux sont mortes sur le coup. Au moment de l’accident, James avait près de trois fois plus d’alcool dans le sang que la limite légale pour conduire.

Comme si le fait de conduire bourré n’était pas assez illégal, James était également en liberté conditionnelle et en attente de son procès pour un quatrième cas de conduite en état d’ivresse.

Il a été accusé d’homicide involontaire et condamné à effectuer une peine de prison de 40 ans. Pendant le procès, il a tenté d’accuser le procureur, en expliquant qu’il n’y aurait pas eu d’accident si on l’avait emprisonné plus tôt.

Actuellement, il purge sa peine dans un centre de détention situé dans l’ouest du Nouveau-Mexique. C’est ici, en mars dernier, qu’il a tenté de coller un procès aux personnes qu’il jugeait coupables.

Parmi ses cibles, on peut compter Applebee’s et le Blue Corn Cafe, à savoir les deux restaurants où il est allé avant l’accident. Il prétend que ces restaurants ont accepté de lui servir de l’alcool, ce qui a provoqué en lui « une angoisse mentale », une « détresse émotionnelle » et « une perte de sa joie de vivre ».

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Il a ensuite accusé son ami Gilbert Mendoza de l’avoir laissé conduire son camion en état d’ivresse (s’il a raison sur ce coup-là, James ne mérite absolument pas d’en tirer le moindre centime).

Et pour finir, James a accusé son avocat, parce qu’il jugeait sa peine trop sévère.

Gros bébé #6 : Michelle Rowlinson

L’incident : Un garçon s’est rendu dans un magasin pour acheter des pansements pour son ami, qui venait de faire une petite chute.

La réaction appropriée : Rembourser l’ami en question.

Ce qui s’est vraiment passé : La mère du garçon a contacté le journal local pour leur dire qu’on avait forcé son fils à acheter des pansements.

Au début du mois de septembre, Charlie Rowlinson, 12 ans, jouait avec son ami Ed à Stapenhill, dans le comté de Staffordshire. Ed est tombé et s’est écorché le genou.

Charlie et Ed se sont rendus dans un magasin du coin pour acheter des pansements et une bouteille d’eau pour rincer la plaie. Comme ça se fait souvent dans les magasins, ils ont dû payer une somme monétaire (ici, 90 centimes) en échange des biens commerciaux.

Quand Charlie est rentré chez lui, il a raconté l’événement à sa mère. Furieuse de voir son fils impliqué dans un système qui existe depuis plus de 100 000 ans, Michelle a contacté un journal local, le Burton Mail, pour pigner un bon coup.

« C’est une honte qu’ils lui aient fait payer alors qu’il voulait juste nettoyer sa blessure, a-t-elle déclaré. Si leur vendeuse était venue chez moi pour me demander de l’eau, je ne lui aurais pas fait payer. »

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Le Burton Mail a contacté le magasin, et pour une raison obscure, la propriétaire Karen Taylor a tenu à se défendre : « C’était ma mère qui tenait la boutique à ce moment-là. Elle m’a dit que les enfants étaient venus demander des pansements. Quand elle a vu qu’ils avaient déjà sorti un peu d’argent, elle a naturellement déduit qu’ils comptaient payer.

Ils ne nous ont pas demandé d’aide, a-t-elle continué. Ils sont revenus pour demander des mouchoirs, et je leur ai dit de se servir sur le rouleau de Sopalin qui se trouvait dans la cuisine. L’un d’eux est ensuite revenu pour acheter une bouteille d’eau. »

Gros Bébé #7 : William Leak

L’incident : Un gardien d’animaux a été licencié.

La réaction appropriée : Chercher un nouveau boulot – à moins qu’il ne s’agisse d’un licenciement abusif.

Ce qui s’est vraiment passé : Le type renvoyé a égorgé les chiens de son ancien employeur.

William Skyler Leak (en photo ci-dessus) a été viré de son poste de gardien d’animaux dans une pension de Fort Worth, dans l’État du Texas.

Selon la police locale, William a été renvoyé à cause de ses « mauvaises performances ». L’employeur lui a demandé de quitter son mobil-home de fonction, mais William a refusé et a passé un mois dans son camion, jusqu’à ce que le propriétaire obtienne une injonction pour le forcer à quitter les lieux.

La nuit suivante, William est entré par effraction sur son ancien lieu de travail. Une fois à l’intérieur, il a égorgé deux border collies. Il a ensuite laissé une petite note, dans laquelle il décrit ce double assassinat comme un acte « magnifique » : « Les chiens m’ont lancé un doux regard de pitié, a-t-il écrit. C’était époustouflant. »

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William a ensuite conclu par un avertissement adressé à son ancien employeur : « Si vous essayez de me retrouver, vous finirez comme vos chiens. »

William a été retrouvé et jugé coupable pour cruauté envers les animaux. Il a plaidé coupable et purge en ce moment une peine de 5 ans de prison.

Gros bébé #8 : Les voisins de la famille Giesegh

L’incident : Une famille du Colorado a installé une rampe d’accès pour handicapés à l’extérieur de sa maison.

La réaction appropriée : Remarquer qu’il y a une nouvelle rampe devant la maison de ses voisins, puis rentrer chez soi.

Ce qui s’est vraiment passé : Les voisins veulent porter plainte.

Vincent et Heidi Giesegh ont une fille de 16 ans atteinte d’infirmité motrice cérébrale. Ils ont installé une rampe pour faciliter son accès à la maison.

Dans une interview pour 11 News, un journal de Louisville, Vincent a déclaré : « Nous voulons faire de notre mieux pour aider notre fille à rentrer chez elle. D’habitude, je la porte moi-même dans les escaliers, mais il nous est arrivé de tomber tous les deux pendant ses crises. »

Mais il n’avait pas vraiment besoin de se justifier. Installer une rampe pour répondre aux besoins de sa fille handicapée, c’est une chose que toute personne dotée d’un cerveau devrait être en mesure de comprendre.

Leurs voisins les ont contactés en octobre pour exiger le retrait de la rampe, de peur qu’elle ne fasse baisser la valeur de leur propriété. Ils ont précisé qu’en cas de refus, ils porteraient plainte.

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Un journaliste de11 News a tenté de contacter les voisins pour écouter leur version de l’histoire, mais ces derniers ont refusé tout commentaire.

Gros bébé #9 : Gail Horalek

capture d'écran via

L’incident : Dans le cadre d’un projet scolaire, une jeune fille a lu Le Journal d’Anne Frank.

La réaction appropriée : Réaliser que les gens morts pendant l’Holocauste sont des gens comme les autres et qu’on a de la chance d’évoluer dans un monde plus tolérant.

Ce qui s’est vraiment passé : La mère de la jeune fille a porté plainte contre l’école, parce qu’elle juge le bouquin « pornographique ».

En avril dernier, la fille de Gail Horalek a lu le journal intime d’Anne Frank, potentielle belieber. Une initiative que Gail trouvait brillante, jusqu’à ce que sa fille vienne la consulter parce qu’elle avait besoin d’être éclairée sur certains passages. Dans un de ces extraits, Anne parle de ses parties intimes :

« Avant d’avoir 11 ou 12 ans, je ne savais pas qu’il existait en plus les petites lèvres, on ne pouvait pas absolument pas les voir. Et le plus beau, c’est que je croyais que l’urine sortait du clitoris. […] Devant, quand on est debout, on ne voit rien que des poils, entre les jambes se trouvent en fait des espèces de petits coussinets, des choses molles, elles aussi couvertes de poils qui se touchent quand on se met debout, à ce moment-là, on ne peut pas voir ce qui se trouve à l’intérieur. Quand on s’assoit, elles se séparent, et dedans c’est très rouge, vilain et charnu. Dans la partie supérieure, entre les grandes lèvres, en haut, il y a un repli de peau qui, si l’on observe mieux, est une sorte de petite poche, c’est le clitoris. »

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Gail a trouvé ces informations trop crues pour une petite de 11 ans (qui doit cependant être pourvue de parties intimes aussi), qu’elle trouve très proches de « la pornographie ».

Elle a contacté l’école et porté plainte, avant de se tourner vers les médias locaux pour raconter son histoire. Elle a déclaré que si l’école ne retirait pas le bouquin à sa demande, elle entraînerait l’affaire encore plus loin.

Bien qu’elle protège beaucoup sa fille et qu’elle tente désespérément de bannir un livre, Gail a tenu à s’expliquer au journal Northville Patch : « Ça ne veut pas dire que je protège trop ma fille, ça ne veut pas dire que je vis dans ma bulle, et ça ne veut surtout pas dire que j’essaie de faire bannir des livres. »

Gros bébé #10 : L’école élémentaire Park

capture d'écran via

L’incident : Un gosse a taillé son biscuit en forme de pistolet.

La réaction appropriée : Lui dire de ne pas jouer avec la nourriture et l’obliger à finir son biscuit.

Ce qui s’est vraiment passé : L’enfant a été exclu de l’école.

En juillet, Josh Welch mangeait un biscuit Pop-Tart pendant sa pause déjeuner à l’école élémentaire Park, à Baltimore. À en croire ses professeurs, Josh a grignoté le biscuit pour lui donner une forme de pistolet, avant de le pointer en direction des autres élèves en criant « Pan ! Pan ! »

Josh a déclaré à une chaîne locale : « Je voulais juste le tailler en forme de montagne, mais ça a fini par ressembler à un pistolet. »

Bien sûr, personne ne va croire à ces conneries. Aucun gosse de 7 ans n’aurait l’idée absurde de tailler son biscuit en forme de montagne. Et comment aurait-il pu se planter et se retrouver avec un pistolet ? Pourquoi voulait-il pointer une montagne sur un élève en hurlant « Pan ! Pan ! » ? Cette histoire est un peu bancale, si vous voulez mon avis. Quitte à mentir à la télé, il aurait pu trouver plus convaincant qu’une montagne qui fait « pan, pan », sérieux.

Mais comme vous vous en doutez, Josh n’avait pas vraiment besoin de se justifier à ce sujet, parce que tailler un Pop-Tart en forme de pistolet ne constitue pas un crime grave. Si on y réfléchit bien, un Pop-Tart en forme de montagne est encore plus dangereux qu’un pistolet, vu qu’il possède plus de bouts pointus (si on part du principe que Josh voulait faire une forme de montagne traditionnelle, et pas un truc fantaisiste comme la Montagne de la Table ou le rocher Uluru).

Josh a été exclu de l’école pendant deux jours. Et ses camarades ont été renvoyés chez eux pour la journée, avec une lettre adressée aux parents qui expliquait qu’un « petit incident » avait eu lieu. Une lettre que je me serais empressé d’encadrer si j’avais eu le privilège de la recevoir.

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Parmi les gens de la liste ci-dessous, qui est le plus gros bébé de 2013 ? Faites-moi savoir votre réponse dans le sondage ci-dessus, et je m’assurerai personnellement de l’envoi du trophée. 

Qui est le plus gros bébé de l'année ?

Précédemment : Le gros bébé de l'année : 2012

La grande gagnante : Ashley Taylor, qui a fait un procès à un mec pour l’avoir bousculée pendant un reportage.