L'an dernier, j'ai emménagé dans la ville palestinienne de Ramallah pour travailler dans un journal en tant que photographe. Étant originaire de Brooklyn, j'ai trouvé la ville à la fois accueillante et étrange. Ce que j'en ai retenu, c'est le mélange entre la douceur des effluves de café et de narguilé, et les relents de détritus brûlés et de gaz lacrymogènes qui provenaient du point de contrôle de Kalandia.
Publicité
Ramallah est plongé dans un conflit interminable qui fait désormais partie de son quotidien – parfois, il m'arrivait même de ne plus y prêter attention.Vous pouvez consultez le travail de Daniel ici et là.Votre ville aussi est un petit bout de paradis ? Envoyez-nous un mail. On mord pas.
