Ça, c’est notre cerbère, Wonik, dans la seule boîte de nuit du pays. À 3h du matin il s’est mis à crier : « Dans le bus, bande de ramasses bourrées ! Ou je vous prends vos passeports et vous restez ici pour toujours ! »
Un fermier nous dépasse dans une ferme collective modèle de la province de Kangwon.
Vue de la ville historique de Kaesong, l’un des rares endroits qui ait partiellement échappé aux bombardements durant la guerre de Corée.
Des enfants dans la cour de leur école maternelle jouent sur un manège d’inspiration « missile nucléaire ».
Le boulot de ce soldat était de pointer différents endroits sur une carte qui montre la zone démilitarisée entre la Corée du Sud et la Corée du Nord. Il répétait que la troisième guerre mondiale menaçait d’éclater d’un moment à l’autre.
Des enfants qui vont quelque part.
Ici, la notion de Guerre froide a encore un sens. Le carré de gravier, c’est la Corée du Sud, et ces Blancs à l’arrière-plan, on dirait des cadres supérieurs qui se demandent qui est ce type avec un appareil photo qui leur fait signe (moi).
Une station de métro de Pyongyang, avec l’hôtel Ryugyong en arrière-plan.
Une femme passe une rangée de statues dans le Parc des Fontaines de Pyongyang.
Le Cher Dirigeant envoie les soldats faire ce qu’ils ont à faire.
Les agents de la circulation de Pyongyang sont recrutés sur des critères de beauté.
Pyongyang au coucher du soleil.
La tour du Juche – symbole de la pensée philosophique unique de Kim Il-sung – de l’autre côté du fleuve Taedong.
De l’eau minérale en vente devant un magasin d’alimentation générale à Pyongyang.
Le Pyongyang rétro-futuriste.
Encore plus de Pyongyang rétro-futuriste.
Les voies ferrées entre Pyongyang et Pékin sont envahies de Coréens affamés qui espèrent que les touristes à bord des trains auront pitié et leur jetteront des trucs à bouffer par la fenêtre.
C'est les jeux de gymnastique de masse à Pyongyang, où 10 000 gamins scandent à quel point Kim Il-sung était génial. C'est vraiment une histoire de famille.
Un visa nord-coréen sur ton passeport est un super moyen de rester bloqué à jamais au poste de douane américain.
Pas de référence à la drogue ou au sexe dans les bornes d’arcade coréennes.
Des écoliers défilent jusqu’au lieu de naissance de Kim Il-sung à Mangyongdae.
Les résidents qui vivent de l’autre côté de l’immeuble se réveillent tous les matins avec une vue imprenable sur le trou du cul des deux Kim.
Ce jet de l'ère soviétique est aujourd'hui hors service, mais quand il volait, il hébergeait les vols commerciaux les moins sûrs au monde. Il lui était même interdit de passer au-dessus de l’Europe ou des États-Unis.
Il y a plein de statues de ce mec.
L'aéroport international de Pyongyang fait beaucoup penser à l'hôtel California.
Test nucléaire matinal à Pyongyang. Pas vraiment, c'est juste le lever du soleil.
J’aimais bien cette rate, mais quand j'ai essayé de lui demander son nom dans un coréen approximatif, elle s'est précipitée vers son cerbère :(
On est à peu près aux trois-quarts de l'immeuble le plus haut de Pyongyang.
Des vacanciers qui vont à la plage.
Un toit pour tous !
Les Nord-Coréens sont assez doués pour cacher leur misère aux touristes. On a quand même réussi à apercevoir ces gamins essayant de récupérer des trucs à refourguer dans ce ruisseau de je-ne-sais-trop-quoi.
Ces mecs s'éclatent.
La place centrale de Wonson le soir de la fête de la Libération.
Même lorsque la ville est plongée dans l'obscurité, un générateur électrique fait en sorte que le Cher Dirigeant reste éclairé toute la nuit.
L'intérieur du plus grand magasin de Pyongyang.
Une employée du magasin qui joue avec un chat.
Un monument du Parti à Pyongyang.
Honnêtement, si cette serviette s'était trouvée dans une chambre d'hôtel n'importe où dans le monde, je l'aurais volée. Mais vu que j'étais en Corée du Nord, je me suis contenté d'une photo.
Des kids nord-coréens. Je les adore. Quel gâchis.
On m'a emmené dans un petit salon de massage à Rason. Ce karaoké militaire était projeté sur un énorme écran plasma dans un coin de la pièce.
Un poster de gosses connus à Rason. On les a forcés à nous faire un spectacle le soir même. C'était vraiment déprimant.
Regardez ce gros con mort.
Avant d'être autorisés à entrer dans cette usine de couture à Rason, on a dû attendre dans la voiture pendant une demi-heure, probablement pendant qu'ils mettaient tout en scène et installaient des tournesols partout.