FYI.

This story is over 5 years old.

Sports

Stephen Jackson, Don Nelson, le whisky et la marijuana

L'ancien ailier a déclaré que son ancien coach était super excité quand ses joueurs pouvaient de nouveau fumer de la weed.
© Derick E. Hingle-USA TODAY Sports

Stephen Jackson a joué 14 saisons en NBA, sous les couleurs, entre autres, des Pacers, des Spurs et des Warriors et il a plutôt apprécié passer dans le podcast de l'acteur Michael Rapaport, I am Rapaport. Jackson a raconté quelques anecdotes croustillantes au sujet, notamment, de sa consommation de marijuana avant les matches et de la façon dont Don Nelson, son coach aux Warriors de 2007 à 2009, entraînait, en toute décontraction.

Publicité

Commençons par Don Nelson. On dirait qu'il entretenait de très bonnes relations avec Stephen Jackson et le meneur Baron Davis. Les trois compères se vidaient ensemble quelques bouteilles de whisky, du 12 ans d'âge. De plus, Jax nous apprend que ça ne dérangeait pas Nelson que lui et Davis fument des gros joints de marijuana.

« Personne ne connaît cette histoire donc c'est la première fois que quelqu'un l'entend. Nous sommes dans l'Utah et les contrôleurs sont là pour qu'on fasse notre dernier test et qu'on puisse fumer. Avec Don Nelson, on parlait de weed tout le temps, il était à l'aise avec le fait de parler de weed. On a notre dernier test là-bas. Donc Baron et moi on sort du vestiaire en hurlant, excité d'avoir ce formulaire stipulant qu'on pourrait fumer le reste de la saison et Don Nelson nous fait des high-fives genre ''Ouais on peut fumer maintenant !'' C'était cool, le fait qu'il sache ce qu'il se passait en dehors des terrains. On appréciait. C'est pour ça que nous étions une grande équipe ».

Jackson a aussi donné des indications sur sa position en faveur de la weed et sur certains rituels d'avant-match.

« Je ne peux parler que pour moi. Moi, personnellement, j'ai parfois fumé beaucoup avant les matches et j'étais quand même capable d'être productif. Je dois dire la vérité il y a eu quelques matches avant lesquels j'ai fumé et où j'ai été très bon. Mais il y a eu quelques matches avant lesquels j'ai fumé et où j'étais sur le banc au bout de trois minutes. Je me disais '"S'ill te plait, calme-toi, faut que tu redescendes". Il y a eu trois fois où j'ai tiré au-dessus de la planche et je me suis dit "Faut que je redescende". »