Photo - Rebecca TopakianGrungecore
Un nouveau genre musical dans la continuité du mouvement néo-grunge. Imaginez Nirvana ou Alice In Chains joué deux ou trois fois plus vite. Ensuite, ajoutez un double kick de batterie, une quantité non négligeable de distortion sur la guitare et vous obtenez … le grungecore.Mec 1 : « Dude , ce nouveau groupe tue ! »Mec 2 : « Sérieux ? Jamais entendu parler. Ils font quoi comme musique ? »Mec 1 : « Du grungecore. »Mec 2 : « Oh, ça doit tuer alors ! »
Un nouveau genre musical dans la continuité du mouvement néo-grunge. Imaginez Nirvana ou Alice In Chains joué deux ou trois fois plus vite. Ensuite, ajoutez un double kick de batterie, une quantité non négligeable de distortion sur la guitare et vous obtenez … le grungecore.Mec 1 : « Dude , ce nouveau groupe tue ! »Mec 2 : « Sérieux ? Jamais entendu parler. Ils font quoi comme musique ? »Mec 1 : « Du grungecore. »Mec 2 : « Oh, ça doit tuer alors ! »
Le dictionnaire urbain ne ment jamais. Depuis un an et en parallèle de leurs multiples groupes hardcore divers et variés (qu'ils s'appellent DIG, Cut Loose, Hard To Handle, Jack Move ou Mad At The World), ces cinq mecs partagés entre Paris-Banlieue et Lille répètent en cachette, s'échangent des CD sous le manteau et essuient les quolibets de leurs pairs sans broncher, mais aujourd'hui, tout ça est bel et bien fini ! L'heure du coming-out est enfin arrivée, sous forme d'une démo 3 titres de 12 minutes (faites le calcul) qu'on vous fait écouter en intégralité ci-dessus. Summerhouse vit désormais sa passion au grand jour et vous promet un été grungecore, fait de voix enrouées, de soleil voilé, d'envolées indie et de breaks Volvo. Le groupe défendra ses couleurs dès le 30 juin prochain à la Mécanique Ondulatoire pour le premier vrai concert de leur existence. Déconnez pas et soyez-là.