cate le bon
Tim Presley : « La communauté, en soi, c’est bien, mais une scène, c’est toujours de la merde »
Sur son excellentissime nouvel album, le Californien chasse les fantômes des Kinks, de son addiction aux opioïdes et de ses crises d'angoisse. Tout en prenant toujours soin de se tenir à l'écart des bandes, des modes... et un peu de l'époque.
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