grunge
Sans prévenir, Cockpit va vous coller la beigne de votre vie
Les terreurs bordelaises sortent leur excellent second album chez Teenage Menopause, qu'on écoute en intégralité avant sa sortie le 18 mai.
25 ans après, qui se souvient encore de « Singles » ?
Présentée comme un instantané de la génération grunge, la comédie romantique de Cameron Crowe a survécu aux années 90 grâce à sa B.O. signée Alice In Chains, Pearl Jam ou Soundgarden, qui vient d'être rééditée.
Il n'y avait pas deux mecs comme Chris Cornell
Le chanteur de Soundgarden et Audioslave, décédé la semaine dernière, vivra sur le Mont Rushmore du grunge pour l'éternité.
Narbonne Plage essaient de conjuguer leur passion pour Nirvana, la déconne et The Mars Volta
Le chanteur du groupe grunge-punk parisien nous parle du mal qu'a fait « Seven Nation Army », de ses vacances de prolo et de son défunt blog, « Je t'encule Thérèse ».
Seul Contre Tous : « Incesticide » de Nirvana
Et si le disque le plus négligé du groupe de Seattle était en fait leur meilleur ? Hein ?
Échange 5 Pirouettes contre 1 Westpoint
Le premier album du groupe emo-grunge de Pennsylvanie est le plus beau truc que vous entendrez ce mois-ci.
Summer Video Club - « Frame Of Mind »
Le groupe lo-fi de Lorient vient de donner le coup d'envoi de l'été.
À la gloire de White Zombie
La bassiste Sean Yseult est revenue avec nous sur les débuts du groupe, des squats du Lower East Side aux concerts avec les Cro-Mags en passant par l'avènement du groove metal.
Bruit, fureur et LSD : la chevauchée psychiatrique des Butthole Surfers
« Ils versaient du LSD dans leurs céréales tous les matins et faisaient passer le tout avec une dose de whisky. Au déjeuner de la bière, et au dîner de la weed mexicaine fumée dans un bong sans eau. »
Range Tes Disques : Les Thugs
Eric Sourice, le Woody Allen du punk français, a classé les huit albums de son groupe, de celui qu'il aime le moins à celui qu'il préfère.
J'étais le dealer de Kurt Cobain et Mark Lanegan
Pendant les années 80 et 90, Tom Hansen fournissait toute la scène musicale de Seattle en héroïne. Il en a tiré le génial « American Junkie », un livre aujourd'hui épuisé.
Basement revient livrer la bonne parole au peuple emo avec « Promise Everything »
Ça sonne, en gros, comme un mélange de Jimmy Eat World et Soundgarden, soit exactement ce qu'on est en droit d'attendre d'un disque de rock alternatif.