. Photos by Peter Ringenberg
Matthew Batty, Trapping the In Between, 2015Pas facile de ressusciter une vieille centrale électrique laissée à l’abandon mais il n’a pris qu’un été et onze artistes pour transformer celle de South Bend, dans l’État d’Indiana aux États-Unis en centre d’art. Mise en œuvre par le Birdsell Project, des artistes Myles Robertson et Nalani Stolz, cette renaissance traîne dans son sillage une série de sculptures, d’installations et d’expériences dispersés dans le sol-sol du Commerce Center. Le réalisateur Chuck Fry, qui a aussi documenté la première incursion de de Robertson et Stolz dans le domaine en 2014 et dont le film sur l’artiste Kiva Ford qui nous avait emballés en janvier, revient avec une nouvelle plongée dans la résidence de Birdsell Project.Bryce Robinson, The Hive Within, 2015Allison Polgar, Pose, Pretend, Repeat, 2015Le Commerce Center, qui a été tour à tour un établissement médical et une centrale hydroélectrique, est un plutôt bon point de départ pour des artistes, comme l’explique Robertson dans le documentaire de Fry. « Le sous-sol ne peut pas vraiment être exploité de manière conventionnelle mais il était parait pour ce que nous recherchions », ajoute Stolz. Inspiré de l’installation de la Spring/Break Art Fair dans une station de métro vide de New York, de la résidence Red Bull à Détroit ou d’autres efforts pour faire revivre des espaces laissés à l’abandon, ce projet a accueilli des artistes de tout le pays pour vivre pendant deux mois dans cet espace délabré. Ils ont créé des œuvres qui viennent dialoguer avec l’état d’abandon ambiant.So Hee Kim, After a Tornado Swept 80’s Kid’s Birthday Party, 2015Matthew Batty, Trapping the In Between, 2015Liam Cawley, DOVE MUOIONO I CRISTIANI (Where Christians Die), 2015Nalani Stolz, Shrouded, 2015Leah Gallant, Zano with Vains, 2015Cliquez ici pour en savoir plus sur le Birdsell Project.
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