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Des histoires vraies de gens comme vous qui se sont pissé dessus

Quand est-ce que vous vous êtes pissé dessus pour la dernière fois ? Oh, quand vous aviez huit ans ? La fois où vous êtes allé camper et que vous flippiez à cause des bruits dehors ? Que dalle.

C’était quand, la dernière fois que vous vous êtes pissé dessus ? Oh, quand vous aviez huit ans ? La fois où vous êtes allé camper et que vous flippiez à cause des bruits dehors ? Que dalle. Soyez un peu honnête. C'était le week-end dernier et on le sait tous. D'ailleurs on sait aussi que vous allez recommencer ce week-end – vous allez commencer ce soir, et maintenir un débit de pisse digne de l'Amazone, jusqu'à ce que votre matelas soit imbibé de votre nectar doré. Maintenant que vous avez tous honte, voici d’autres anecdotes de gens qui se sont pissé dessus pour vous faire vous sentir moins mal.

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Illustrations : Sam Taylor

LA DOUCHE DORÉE

Quand j'avais 16 ans, je suis allé à une soirée et j'ai fini dans une chambre où tout le monde se chopait. Y’avait d’autres couples, chacun à des étapes plus ou moins avancées d'embrasement, mais j'étais aveuglé par l'alcool donc je m'en foutais. Tout ce que je voulais, c'était toucher ses seins. Aussi, j'avais trop envie de pisser, mais je ne voulais pas la laisser refroidir en allant aux chiottes. Bref, on s'est emballés et tripotés pendant un moment, puis elle a déboutonné mon froc pour me branler. C’était tellement bien, ça m’a détendu direct.

A posteriori, c'était peut-être une mauvaise idée, parce que mon ivresse a pris le dessus et je me suis retrouvé à mi-chemin entre la réalité et l'inconscience totale. Pour se relever un peu, elle a pris appui d’une main sur ma vessie et dans mon rêve enivré, j'ai commencé à pisser. Partout. C'était cool pendant trois secondes, mais j'ai repris conscience et j'ai réalisé ce qui était en train de se passer. En plus, je bandais encore comme un cheval, donc le jet était incontrôlable : je m'en suis pris plein le visage, ça a éclaboussé les cheveux de la fille, et je me suis retrouvé avec une sale tache sur mon pull gris. C'était l'une des pires nuits de ma vie. Depuis ce jour, les gens m'appellent Stuart « La Douche ».

LA LARME À L’ŒIL

J'avais passé la journée à boire, et il était temps de partir de Peckham pour rentrer à Vauxhall où j'habitais avec mes parents qui sont, au passage, très tolérants et ouverts d'esprit. J'étais tellement bourré que je n'ai même pas pensé à soulager ma vessie au cours de la soirée. J'ai galéré comme un gros plein de pisse pour rentrer. J’ai pour principe de ne jamais me soulager dans la rue comme un chien, mais c’est une position parfois un peu dure à tenir. Je me souviens d’avoir dû dézipper mon froc pour qu’il appuie moins sur ma poche à liquide jaune.

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Arrivé près de chez moi, je me suis rendu compte que j'avais les clés du garage et que je pouvais aller pisser là-bas pour gagner du temps. Je suis arrivé devant la lourde porte en acier, enivré et partagé entre douleur et excitation à l’idée de me délester. Une fois à l'intérieur, j'ai refermé la porte sur mon doigt. J'ai clairement entendu le craquement des trois os que j'avais brisés. Évidemment, j'ai directement inondé mon froc. Je n'avais jamais ressenti une telle combinaison de douleur et de soulagement.

Le lendemain matin, je me suis réveillé au même endroit, dans un lit visqueux fait d’urine et de sang, avec un doigt noir. J’ai quitté le nid familial pas longtemps après.

DE LA LITIÈRE POUR CHATONS

Vers le milieu des années 1990, je suis allé au zoo avec ma famille. J'étais un gamin de 10 ans typique qui basait ses faits et gestes sur Bart Simpson, et je tenais la main de ma mère qui à l'époque avait une grosse crinière de cheveux roux. Un peu comme Chaka Khan ou Rebekah Brooks.

Ça faisait quinze minutes qu’on matait les lions et je commençais à me faire un peu chier. Ma petite sœur venait de voir Le Roi Lion, donc elle attendait avec impatience que les lionceaux se mettent à chanter et à danser, mais évidemment, tout ce qu’ils faisaient, c’était rester allongés sur leurs rochers. Y’a rien de plus chiant qu’un lion.

Mon père était de plus en plus énervé parce qu'il voulait voir le papa lion rugir. Il a donc décidé de leur crier dessus, pour les faire réagir, je suppose. Comme si une créature de plusieurs centaines de kilos allait s'inquiéter d'un mec qui crie. Ma mère s'est avancée vers mon père pour le calmer. Apercevant la crinière sauvage de ma mère et se sentant certainement menacée, une lionne a lâché un jet de cinq mètres de pisse pile poil dans sa face. Je ne sais pas quelle est la bonne réaction à avoir quand votre mère se fait pisser dessus par un lion, mais je me suis contenté de hurler de rire à côté d’elle pendant au moins cinq minutes. Ma mère m’a crié dessus, puis elle a pleuré, et ensuite on est rentrés. Ah, les souvenirs de famille.

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UNE ENVIE MOUILLÉE

L'été dernier, on est partis faire du skate à Stockholm. Un jour, on a décidé de sortir de la ville et de partir à l’aventure en forêt, d’aller nager dans un lac, de s’ébattre en pleine nature, bref, ce que font les gens en vacances. On a préparé un énorme pique-nique, des bières, et on a pris la route vers un lac. Après quelques bières, tout le monde a commencé à se jeter dans le lac depuis les rochers. Ça faisait un peu peur mais ce n’était absolument pas dangereux.

Tout le monde s'éclatait, sauf l'un d'entre nous. On l’appellera Dave. Dave voulait vraiment sauter dans le lac, mais on aurait dit qu’il en était physiquement incapable. Il a tout essayé : boire une bière cul sec, se frapper la tête très fort, nous faire faire un décompte… Tout.

La tourmente qu’on pouvait lire dans ses yeux s'est soudain transformée en joie ; il a eu comme une illumination. Il a commencé à se pisser dessus volontairement, expliquant que le seul moyen de se laver était de sauter dans le lac. C’était un peu attardé comme raisonnement, mais ça a marché. Prenez en de la graine ; si un jour vous vous sentez nerveux ou inquiet, pissez-vous dessus – ça rend tout beaucoup plus facile.

MON BEAU-PÈRE ET MOI 

Cette histoire a deux versions. Voici la mienne : je me souviens m’être réveillé chez ma petite copine, assis sur les toilettes, totalement perdu. Pour une raison inexplicable, je ne savais plus comment ouvrir une porte donc j'ai frappé sur celle des toilettes jusqu'à ce que ma copine vienne l'ouvrir. Puis, je suis allé me coucher, et j’ai dormi du sommeil du juste.

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Le lendemain matin, j'ai été réveillé assez brutalement par la seconde version. Apparemment, dans un accès de somnambulisme, je me serais rendu en pleine nuit dans la chambre des parents de ma copine, j’aurais sorti mon bazar et j’aurais pissé partout, sur eux, sur leur lit, sur le sol et sur les murs. Une vraie fête de la pisse dont j'étais le roi. Me voyant pisser sur son pyjama, mon beau-père se serait levé et m'aurait gentiment guidé vers les toilettes, la bite à l'air, toujours en train de déverser des litres de jus.
Je ne me souviens que de mon réveil sur les chiottes. Je n’arrive pas à comprendre comment ça a pu arriver. Je n’ai pas l’habitude d’uriner partout pendant mon sommeil (je vous jure, les filles).

En tous cas, les parents de ma copine sont toujours sympas avec moi et sont assez cool pour attendre la fin des dîners de famille avant de raconter cette histoire, lorsque nous sommes tous ivres.

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