
La semaine dernière sur Internet, on est tombés sur un produit dont on doit la paternité à Phillipe Starck, le designer qui rénove des hôtels et porte des blousons de moto. Le WAHH – c'est son nom – est un petit spray destiné à vous « évoquer l'ivresse, sans effets néfastes » en une pulvérisation. Et ce, grâce à une décharge d'alcool à 90 degrés assez puissante pour donner l'impression à votre cerveau que vous venez de boire dix-huit shots de téquila d'un coup – et qu'en conséquence, vous êtes bourrés. Selon ses créateurs, le WAHH est plus efficace lorsqu'il est pulvérisé sur de la nourriture. La méthode à suivre était donc simple : asperger nos plats du midi avec le produit et laisser nos cerveaux se faire berner par le liquide.Comme tout produit futuriste, le WAHH a un nom qui ressemble à un cri de créature à peau verte sortie d'un jeu de plateau et un design rappelant celui des jouets qu'on trouve dans les boîtes de céréales. Mais comme tout produit marketing, il nous a juste fallu appeler l'agence qui le distribue – le Labstore – pour voir arriver au bureau deux exemplaires dans un joli paquet cadeau et ainsi, pouvoir expérimenter l'idée « d'ivresse moléculaire » sur notre lieu de travail.La première étape a consisté à aller se prendre à bouffer. Chacun des participants devait avoir un plat différent représentatif du savoir culinaire du Xème arrondissement parisien. Sylla a opté pour un classique sandwich club Monoprix à 3 euros.
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