Les drones sont une sorte de nouvel eldorado dans le monde du sport. On vous a déjà parlé des courses de drones qui se démocratisent de plus en plus. Et cet été, on vous conseillait d'opter pour le dronesurfing en cas de conditions météo pas optimales.Ce n'était qu'une question de temps avant que le dronesurfing ne soit transposé aux pistes de ski et que naisse ainsi le droneboarding. En février 2016, un amateur de drones russe avait déjà posté une vidéo sur YouTube de son fils, sur un snowboard, en train de se faire tirer par un drone. C'était la première fois qu'on entendait parler de droneboarding, mais ce n'était pas franchement concluant : on parlait là d'un gamin assez léger pour qu'un quadcopter assez banal puisse lui faire faire quelques mètres sur de la poudreuse. Quelques jours auparavant, en janvier, un autre exemple de droneboarding, un peu plus spectaculaire, était mis en ligne : un Letton qui se faisait tirer par un drone sur fond de reggae.Pour du droneboarding encore plus spectaculaire, avec des tricks et de la vitesse, il fallait des moyens, : un plus gros drone et assez d'espace pour ne pas que l'engin blesse quelqu'un. Casey Neistat est le genre de mec parfait pour ce genre d'entreprise. Le YouTubeur américain était déjà connu pour ses qualités de snowboardeurs : il avait ridé dans les rues de New York City pendant le blizzard de l'hiver dernier. Ici, avec, on imagine, un bon coup de pouce financier de Samsung, il parcourt les pentes enneigées de Finlande tiré par un drone monstrueux.Bon, il y a quelques stratagèmes pour rendre la vidéo encore plus spectaculaire évidemment : comme on peut le voir dans le making of, Neistat est harnaché à la taille lorsqu'il est soulevé par le drone, car il faudrait une sacrée prise pour ne pas lâcher l'appareil.Avec la démocratisation des drones, qu'est-ce qui nous empêche de penser que ces gros engins dévaleront les pentes de Courchevel d'ici une dizaine d'années ? Rien.