7 ans qu'on était (quasiment) sans nouvelles d'Aksel Schaufler aka Superpitcher, producteur de génie à qui l'on doit quelques-unes des plus belles heures du label Kompakt, d' « Heroin » à « Tomorrow » en passant par « Hysteria » ou le gigantesque « Happiness », extrait de son premier album Here Comes Love en 2004. Rien en effet ou presque depuis 2010 et son deuxième LP, Kilimanjaro, si ce n'est un vague maxi de remixes (More Love en 2012) et la compilation So Far So Super, sortie au printemps dernier. Jusqu'à l'annonce, il y a quelques jours, de la sortie d'un nouvel album, The Golden Ravedays. Un disque mixé aux Red Bull Studios Paris qui se dévoilera tout au long de l'année, à raison d'un maxi par mois. On vous présente aujourd'hui le premier, composé de 2 titres de plus de 10 minutes chacun : le très classique « Snow Blind », pur track de techno cinégénique dans la lignée des meilleurs maxis de Schaufler et le terriblement toxique « Hey Little Raver », pop song baléarico-narcotique que vous aurez un mal fou à vous extirper du cerveau dans les mois à venir. Ça se passe juste en-dessous, pour la première fois dans l'histoire de la techno cinégénique et des pop-songs baléarico-narcotiques.
Publicité