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Spray nasal : « C’était le kiff ! Je n’avais jamais respiré comme ça »
Ne riez pas : après la jouissance des premiers pschitts, une véritable dépendance s’installe. Jusqu’à détruire les cloisons nasales.
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Ne riez pas : après la jouissance des premiers pschitts, une véritable dépendance s’installe. Jusqu’à détruire les cloisons nasales.