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It’s A Fine Line ne sera jamais, jamais, jamais, jamais, jamais dans la playlist de Jean Roch

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Noisey : Qu’est-ce que vous avez fait tout ce temps où on attendait cet album ?
Tim Paris :
C’est pas un peu dangereux de se dire qu’on prend son temps sans avoir de délai imposé ? Quand tu parles du « faire un beau disque », c’était quoi l’idée de départ ? En tout cas, pas un album pour danser, si ? De toute façon, qui a envie d’un album dansant du début à la fin ? En plus, c’est hyper casse-gueule à réussir, non ?

Ça explique qu’il y ait autant de climats différents ?
D’ailleurs vous attaquez l’album par un titre plus cold-wave 80’s que techno, avec une chanteuse à la voix trouble, androgyne. Speed Vous avez aussi réussi un vrai exploit, celui de ralentir le débit d’Alex Kapranos de Franz Ferdinand, sur « Redelivered » Et d’un autre côté, un morceau comme « Greasier » synthétise la façon dont vous vous plaisez à tordre l’électronique. Vous avez l’air très fidèles à tout ce que vous avez toujours aimé et en même temps, votre musique rend bien compte de la multiplicité de vos influences. Comment définirais-tu votre complémentarité de ton point de vue ? L’humour que vous mettez dans les détails, comme dans certains titres de morceaux, ça vient de votre recul sur le milieu ? « Vaguement froid » restera le titre de morceau le plus drôle de l’année ! On va faire un son vaguement froid Il y a d’ailleurs beaucoup de sons 80’s sur l’album, non ?

Est-ce que tu te reconnais dans l’idée que votre projet cherche à ralentir le temps dans une période où tout va un peu trop vite, où on zappe beaucoup ?
C’est donc une vraie réaction au paysage musical ? Vous allez faire plein de dates en DJ suite à l’album mais j’avais pourtant l’impression que le morceau « Weekend Boom Boom » voulait dire que vous commenciez à en avoir ras la casquette de jouer en club. Quel regard jettes-tu sur l’évolution du clubbing depuis que tu baignes dedans ? Les grosses soirées et les festivals prennent effectivement la place des clubs auprès du public, ça se vit comment du point de vue du producteur ? Pascal Bertin aurait bien fait cette interview à Ibiza. Il est sur Twitter.
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